Depuis 1842, l’héritage familial s’épanouit
A chaque génération, les héritiers de Georges Thienpont
tissent un peu plus leur toile dans le vignoble bordelais.
Ils veillent aujourd’hui sur près de vingt propriétés.
Les débuts
Début de la longue saga viticole familiale. A Hof te Cattebeke, dans les Ardennes flamandes, Camille Thienpont fonde une société de négoce en vin.
Troplong Mondot 1921
Georges Thienpont prend pied dans le vignoble en achetant le Château Troplong Mondot, à Saint-Emilion. La propriété devra être revendue dans les années trente. Georges est le grand-père de François.
Les États-Unis
Après des études de viticulture et de commerce, François quitte ses terres bordelaises pour les États-Unis. Il y restera quatre ans. C’est là qu’il présente Le Pin, alors inconnu, à Robert Parker.
Premier millésime de Puygueraud
Nicolas, frère de François Thienpont, signe le premier millésime de Château Puygueraud. Il s’affirme comme un vinificateur hors pair. Aujourd’hui, Nicolas veille sur les châteaux Les Charmes Godard et La Prade et gère un portefeuille de crus prestigieux de la Rive Droite, dont deux Premier Grand Cru Classé, châteaux Pavie Macquin et Larcis Ducasse.
Wings s’envole
Pour voler de ses propres ailes, François Thienpont fonde Wings. La maison devient allocataire des Grands Crus et distribue les vins de la famille.